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Lully / Fanfares for the King's Tournament of 1696 - Collegium Musicum de Paris, 1964

From the LP shown above, issued on the Nonesuch label in 1965.

Prélude de la Grande Ecurie (0:01)
Menuet (1:52)
Gavotte (3:01)
Gigue (3:56)

Jean-Baptiste Lully, né Giovanni Battista Lulli à Florence le 28 novembre 16321 et mort à Paris le 22 mars 1687, est un compositeur français d'origine italienne de la période baroque, surintendant de la musique de Louis XIV. Par ses dons de musicien et d'organisateur aussi bien que de courtisan et d'intrigant, Lully domina l'ensemble de la vie musicale en France à l'époque du Roi-Soleil. Il fut l'un des principaux promoteurs du développement de plusieurs formes de musique qu'il organisa ou conçut : la tragédie en musique, le grand motet, l'ouverture à la française. Son influence sur toute la musique européenne de son époque fut grande, et de nombreux compositeurs parmi les plus doués (Henry Purcell, Georg Friedrich Haendel, Johann Sebastian Bach, Jean-Philippe Rameau) lui sont redevables à un titre ou un autre. Lorsque Lully créa son orchestre, il en fit le premier d'Europe pour la discipline et le rythme. Il fit travailler lui-même les chanteurs, les danseurs, et régla tout dans son théâtre jusqu'au plus petit détail. Cette volonté organisatrice se manifeste également dans son œuvre. Le Cerf de La Viéville nous dit que Lully « allait se former sur les tons de la Champmeslé ». Son souci principal est, en effet, d'imiter autant que possible dans son chant la déclamation des grands acteurs du XVIIe siècle, qui s'appliquaient surtout à respecter scrupuleusement la prosodie. Aussi Lully a-t-il soin, non seulement de placer toujours une note longue sur une syllabe accentuée, une note courte sur une syllabe non accentuée, mais encore de marquer un arrêt à la césure et à la rime. Mais où Lully excelle, c'est dans la musique descriptive : et c'est encore le fait d'un artiste plutôt intellectuel. Son air du sommeil dans Armide (« Plus j'observe ces lieux »), par exemple, est un chef-d'œuvre.

Lully si ammalò seriamente, forse anche a causa della sua condotta di vita, intensa e logorante. L'8 gennaio del 1687 stava provando il Te Deum -- da lui scritto dieci anni prima -- per farlo eseguire come ringraziamento della recente guarigione del re, quando si ferì, battendo violentemente sul piede con il pesante bastone di metallo usato per segnare il tempo. La ferita si infettò, degenerando in cancrena e, per tentare di salvarlo, i dottori proposero l'amputazione della gamba; Lully rifiutò. Su questa scelta, che si rivelerà fatale, i biografi hanno avanzato diverse supposizioni; il fatto di essere uno degli uomini più in vista della società e per di più con un passato di straordinario ballerino, gli impedì probabilmente di accettare l'intervento che, nel migliore dei casi, lo avrebbe lasciato menomato a vita. Oppure, forse sperò di poter guarire soltanto curandosi. La malattia fece il suo corso nefasto. Il 22 marzo 1687, dopo oltre due mesi di penosi travagli, Giovanni Battista Lulli morì; fu sepolto nella chiesa di Notre-Dame-des-Victoires a Parigi.

Abschließend lässt sich feststellen, dass Lully mit seiner neuen Orchesterdisziplin nicht nur den französischen Stil weiterführte und maßgeblich prägte, sondern damit enormen Einfluss auf die europäische Musiklandschaft des ausgehenden 17. Jahrhunderts ausübte. Typisch für den Klang seines Orchester sind die „Vorhalte", der fünfstimmige Orchestersatz und die große Besetzung des Orchesters. Die 24 Violinen des Königs bilden den Kern des Ensembles; hinzu treten die 12 großen Oboen (an der Weiterentwicklung der Schalmei zur Oboe soll Lully maßgeblich beteiligt gewesen sein), eine umfangreiche Continuogruppe mit Lauten, Gitarren, Cembalo etc. und recht oft Pauken und Trompeten. Beliebt war auch die ins Werk eingebundene „Zurschaustellung" neuer Instrumente, wie der Traversflöte oder das „französische Trio" aus 2 Oboen und Fagott. Diese Instrumente hatten in vielen Tänzen und Instrumentalstücken Soloauftritte, meist sogar auf der Bühne. In der nachfolgenden deutschen Tradition wurde das französische Trio oft verwendet, besonders von Fasch und Telemann. In den frühen Jahren spielte Lully selbst bei seinem Ensemble die erste Violine, oftmals sind in den Partituren der Philidor-Sammlung Vermerke wie „M. de Lully joue" (der Herr von Lully spielt) zu lesen, die Violinstimme sollte dann mit möglichst blumigen Verzierungen dargeboten werden.
"David Hertzberg"


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